L’ONG Compassion International Togo et une centaine d’églises aux petits soins des enfants

C’est le directeur national de Compassion Peter Komlavi Ataty qui a ouvert les travaux par ses mots de bienvenue et de remerciement à l’endroit des pasteurs et membres des comités des églises. Le directeur national de Compassion international Togo n’a pas manqué de rappeler à l’assistance que c’est le « rôle de l’église de prendre soin des enfants ».

A sa suite, est intervenu l’ancien Directeur région Afrique de l’ouest de Compassion International, aujourd’hui Directeur de la Formation Chrétienne pour l’Afrique, Dr. John Laba. « Chaque église doit avoir un plan de développement, et ce plan de développement doit inclure nécessairement les enfants. Que voulons-nous qu’ils deviennent ? Une église qui n’a pas de place pour l’enfant n’a pas d’avenir. De même, une nation qui n’a pas de place pour l’enfant détruit son propre avenir », a martelé celui-ci. Prendre soin des enfants, pour lui, c’est un mandat biblique et toute « église sérieuse poursuivant le même but que le Seigneur Jésus ne devrait pas l’oublier ». Il a condamné le fait que des églises, au lieu d’encourager les enfants à avoir un avenir meilleur, les découragent et profité de l’occasion pour inviter les pasteurs et membres des comités des églises à réfléchir sur la situation des enfants et surtout à être prêts à défendre leurs causes.

La conférence a pris fin afin avec la signature de plusieurs contrats de partenariat entre Compassion International Togo et ses 99 églises partenaires.

Pour rappel, Compassion International est une ONG chrétienne qui existe pour défendre la cause des enfants en les libérant de leur pauvreté spirituelle, économique, sociale et physique. Elle est installée au Togo depuis 2008 et comptent plus de 20,000 enfants dans son programme de parrainage.

Olivier A.

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Bhoutan : deux pasteurs arrêtés pour réunion illégale


 

Tandin Wangyal et Mon Bdr. Thapa, deux pasteurs bhoutanais sont détenus depuis le 5 mars dans un poste de police de Samtse, dans l’ouest du pays.

Les footballeurs du LOSC jouent les bons pasteurs pour un mode de vie plus actif

« Florent Balmont, in dirot qu’y a trois poumons… » À en croire le chant des supporteurs du LOSC (à fredonner sur l’air d’In the Navy), le cadre des Dogues n’a guère besoin d’être sensibilisé aux joies de l’activité physique et à l’intérêt d’une alimentation équilibrée. L’homme aurait donc trois poumons (ce qui a été formellement démenti par le médecin de l’équipe). Lundi matin, au centre d’entraînement du domaine de Luchin, il a démontré qu’il avait aussi un cœur. Et il n’était pas le seul. Avec lui, Djibril Sidibé, Salomon Kalou, Nolan Roux, Marvin Martin, Idrissa Gueye et Ronny Rodelin. Tous joueurs du LOSC, tous venus un jour de repos pour encadrer des Nordistes qui ont, un temps au moins, été éloignés de toute activité physique.

Au départ, c’est l’Institut Pasteur de Lille qui leur a remis le pied à l’étrier. Via le centre de prévention et d’éducation pour la santé (CPES). Suite à un examen médical, ces personnes ont été identifiées comme présentant des pathologies comme l’obésité ou le diabète. Elles ont ensuite été orientées vers le CPES pour un bilan de santé complet. Chaque année, ils sont plus de 16 000 à ainsi fréquenter le centre de prévention. Dont environ 500 parmi les plus motivés bénéficient d’un programme d’éducation santé.

C’est le cas pour Nicolas, 34 ans, un habitant d’Erquinghem-Lys. Lui revient de loin : « J’ai commencé en juin 2012, je pesais 122 kilogrammes. Aujourd’hui, j’en pèse 74. » À l’époque, on le surnomme Orangina, rapport à sa silhouette. Pas question de pratiquer un sport, ce n’est pas pour lui. Doucement, les éducateurs de l’institut Pasteur lui apprennent à prendre confiance en lui. Nicolas débute par la marche nordique (avec des bâtons) ou dans l’eau. « J’ai aussi remplacé les Kinder par des fruits et les frites par des légumes. » Lundi pour venir à Lille, Nicolas a pris son vélo. Armentières-Lille… « Je suis allé plus vite que ceux qui sont venus en voiture ! »

Les progrès spectaculaires de Nicolas ne doivent pas faire oublier de plus petites victoires. C’est ce qu’explique Dominique Bonte, responsable du CPES : « On est loin des grands discours moralistes. Certains empruntent les escaliers au lieu de l’ascenseur et c’est déjà pas mal. » Des arguments auxquels sont sensibles les joueurs du LOSC pour qui la santé est un instrument de travail. « C’est une priorité pour nous d’être en bonne santé, atteste Salomon Kalou, alors ce qu’on fait aujourd’hui, c’est pour la bonne cause. » Quant à Nolan Roux, il témoigne de l’importance d’une alimentation équilibrée : « C’est important pour éviter les blessures et pour améliorer nos performances. On peut se lâcher de temps en temps, mais cela ne m’est jamais arrivé de manger deux fois dans un fast-food la même semaine. » Ce qui lui permet de courir à pleins poumons.

Eglise protestante unie : un lieu de culte reconnu

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epuis mai 2013, le protestantisme vit une nouvelle histoire. L’Église évangélique luthérienne de France (EELF) et l’Église réformée de France (ERF) ont uni leurs synodes et valider les textes constitutifs de l’Église protestante unie. Les pasteurs n’ont pas de statut à part et exercent une fonction après leurs études de théologie. Ils assurent le service de la prédication et des sacrements, l’animation de la communauté, l’accompagnement, l’écoute et la formation.

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Edina Pulaï est pasteur de l’Église protestante unie de Saintes-Sud Saintonge dont le siège est rue Reverseaux à Saintes. Outre Saintes, plusieurs édifices sont desservis, à Cozes, Gémozac, Meschers, Mortagne, Saint-Fort et donc Pons, au 6, rue du Président Roosevelt.

Le culte est célébré à Saintes tous les dimanches à 10 h 30 (sauf un dimanche par mois où il se déroule en Sud Saintonge).

Un bel œcuménisme

Mi-mars, le maire de Pons, Henri Méjean, accompagné de son épouse, ainsi que le sénateur conseiller général Daniel Laurent ont assisté à la cérémonie qui précédait le dévoilement de la plaque scellée près de l’entrée de l’édifice de culte pontois.

Sous un chaud soleil et devant un large public, cette inauguration a permis au pasteur, Edina Pulaï, quelques mots élogieux sur cette reconnaissance, expliquant au passage la signification du logo et « des croix qui sortent un peu du cadre ». La présence du père Paul Guilloton a prouvé le chaleureux œcuménisme qui règne à Pons, la cité d’un certain Émile Combes.

Nadine Julliard

Religion/Eglise évangélique du Gabon (EEG) : Le nouveau bureau du Conseil national installé

Cette équipe d’une trentaine de membres, est dirigée par le révérend Jean Jacques Ndong Ekouaghé, président de l’Eglise évangélique du Gabon (EEG). Ce bureau a pris sa charge lundi dernier, à la paroisse Baraka Mission, à Libreville, en présence du Premier ministre, chef du gouvernement, Pr. Daniel Ona Ondo.

Societe et Culture Gabon - Gabon - LE, L_UNION LE nouveau bureau du Conseil national de l’Eglise évangélique du Gabon (EEG), présidé par le révérend Jean Jacques Ndong Ekouaghé, a pris officiellement sa charge avant-hier, lundi 31 mars 2014, à la paroisse Baraka Mission, à Libreville, à la faveur d’un culte sanctionnant la fin des travaux du synode national de fin de mandat.

Le temps fort de cet événement a été le passage symbolique du pouvoir de l’ancien président, révérend Gliçant Assoumou Edzang Ondo (région synodale du Ntem), à son remplaçant, le pasteur Jean Jacques Ndong Ekouaghé (région synodale de l’Ogooué-Estuaire et Sud-Ouest).

Un moment d’intense émotion, qui s’est déroulé sous la supervision du secrétaire général de la Cevaa (Communauté missionnaire évangélique), révérend Célestin Kiki et du président de l’Eglise évangélique du Congo (EEC), pasteur Patrick Souami, qui a d’ailleurs officié le culte de clôture du synode.

Occasion pour lui, dans son prêche tiré de l’évangile selon saint Mathieu 21 (1-11), d’inviter les nouveaux membres du Conseil national à faire chacun à son niveau, son introspection devant le Très-Haut, avant de prendre la charge et la destinée de l’EEG, durant les quatre prochaines années.

Le révérend Patrick Souami a laissé une exhortation mémorable au cours de ce culte : « Que l’Eglise évangélique du Gabon, aînée des églises évangéliques en Afrique centrale, soit une communauté de témoignage exemplaire auprès de tes petites sœurs, car, Jésus a besoin de toi, il veut venir à ton secours ».

La nouvelle équipe dirigeante de l’EEG a été envoyée en mission par le doyen des pasteurs, Charles Martel Mebègne Engone pour, entre autres, y faire rayonner la vérité dans la clarté, instaurer la discipline, résister aux tentions du pouvoir en vertu de la justice et la miséricorde de Dieu.

Une nouvelle ère s’ouvre donc à l’EEG, créée le 22 juin 1842. Un mandat que le révérend Ndong Ekouaghé a placé sous le thème : « Etre un en Christ et vivre ensemble », tiré de l’épitre de Paul. En somme, la mission de la nouvelle équipe est de réhabiliter et restaurer les institutions et les œuvres existantes, pour une Eglise forte.

Une célébration eucharistique, qui s’est déroulée dans la ferveur chrétienne, en présence du secrétaire général de la Cevaa (communauté missionnaire évangélique), révérend Célestin Kiki, du Premier ministre, Pr Daniel Ona Ondo, du porte-parole du gouvernement, Denise Mekamne et du conseiller politique du chef de l’Etat, Emmanuel Ondo Metogho.

 

E.E-M.