Ce pasteur réformé français préside l’Église évangélique au Maroc, dont les 3 000 à 5 000 membres apprennent à surmonter leurs divisions
« J’ai l’impression de vivre dans un pays qui concentre tous les sujets brûlants du moment, qu’il s’agisse des rapports Nord-Sud, modernité-tradition, des inégalités sociales ou de la rencontre avec les autres Églises chrétiennes ou avec l’islam », s’enthousiasme Samuel Amédro, président de l’Église évangélique au Maroc depuis quatre ans. C’est sans doute parce qu’elle le jugeait capable de relever tous ces défis que l’Église réformée …