Christianisme Rwanda – RDC : La face cachée des pasteurs américains

imageRick WARREN

Des pasteurs américains, ou si on veut des « hommes de Dieu », qui sont adeptes du fondamentalisme chrétien tel qu’il se vit en Amérique, ne se privent d’afficher au grand jour leur amitié préférentielle à Paul Kagamé et au Rwanda, pays dont on ne compte plus leur visite. Mais ce n’est ni le fait que Paul Kagamé soit mercenaire, ni le fait que son pays le Rwanda agresse et occupe la RD-Congo, ni que la taille démographique du Rwanda comparée à celle de son voisin la RD-Congo où vivent plus 60 millions d’habitants ne permet à ces pasteurs et à leurs églises d’engranger d’importants gains religieux et financiers, n’a jamais dissuadé les représentants du christianisme américain de préférer le Rwanda au Congo- Kinshasa.

Des écoliers, élèves et étudiants apprennent souvent dans des écoles et universités occidentales ainsi qu’africaines que l’Occident chrétien vit une longue période de paix et de stabilité politique. Il ne connait point de guerre, aucun affrontement violent et surtout visible entre ses membres. C’est notamment grâce à une homogénéité religieuse et spirituelle qui unit et rassemble ces États et leurs peuples, je dirais plutôt leurs élites. Le fait de partager et de se nourrir dans une même sphère spirituelle et religieuse suffit pour éloigner ou empêcher la naissance et l’extension des conflits. C’est du moins ce qui se lit et se conclut durant la période de scolarité. Alors, et si seulement il en serait le cas, il y a lieu de se demander pourquoi Kinshasa se fait régulièrement violer, violenter, massacrer, voler, exploiter par des chrétiens, c’est-à-dire par des membres d’une même famille spirituelle et religieuse, et ce, malgré l’appartenance de la RD-Congo à la chrétienté. N’est-ce pas que c’est le « christianisme » qui est la religion prédominante au Congo-Kinshasa ?

Mn texte ici présent n’a pas pour prétention de se lancer dans un procès du christianisme. Je prends bien soin de laisser ce champ aux autres, sauf qu’il se veut interpellateur sur la question de solidarité chrétienne qui s’entend comme le ciment des sociétés ayant en commun le christianisme comme spiritualité. Et en outre, c’est l’Occident colonisateur lui-même qui a décidé, voulu et souhaité partager sa perception religieuse avec ses colonisés. C’est de la volonté impériale du colon que la RD-Congo et son peuple sont devenus chrétiens. Je ne veux rien savoir sauf je me dis que ce faisant, le christianisme, le « divin et le spirituel devenu commun rapprocherait les peuples. C’est plutôt le contraire qui devient le principe. Le christianisme sépare plus qu’il ne fortifie le dessein des peuples et leurs âmes.

Aujourd’hui, Kinshasa compte un nombre assez impressionnant de pasteurs chrétiens, de prêtres. Et même malgré le fait d’avoir élevé un de ses fils au rang de cardinalat, il siège en plus à Rome, dans le temple des temples, ne change rien sur la situation de la RD-Congo. C’est en RD-Congo qu’il y a un génocide dont le christianisme spirituel et religieux n’en parle et voire ne condamne officiellement. Et au-delà, le constat est que des prières, de nuit comme de jour, de nos pasteurs et autres ne se montrent à même d’arrêter la descente du pays aux enfers. Cela date de 1885 à ces jours. Je le souligne pour que l’on ne répétât le slogan courant qui voudrait que ce soit Dieu lui-même qui l’aurait ainsi programmé et souhaité pour ce peuple.

Je voudrais aussi savoir pourquoi l’église kimbanguiste chrétienne a toujours été dans le camp des autres, notamment de Mobutu, de Laurent Désiré Kabila, du Rwanda via « Joseph Kabila ». Pourquoi les prières de Maman Olangi et autres « pasta » ne savent stopper l’humiliation que subit la RD-Congo de la part de ses voisins directs et mandatés. Comment comprendre que ce soit le pasteur et chrétien Ruberwa qui intimait hier l’ordre de négocier avec son M23 ?

Ailleurs, les choses se passent autrement. À travers le rabbinisme, les juifs et Israël s’imposent comme une force spirituelle et étatique. L’Iran et ses ayatollahs se font craindre et comptent parmi des référents sociologiques imparables. Le Japon et ses prêtres shintoïstes, et ce malgré la défaite du Japon et la présence Yankee sur son sol, ce peuple et son intelligence rayonnent à travers le monde. Des moines du Tibet perpétuent l’espoir et le rêve tibétains nonobstant l’emprise chinoise. Des soufismes islamiques et l’islam, malgré l’absence de son unité, donnent de la sueur au monde occidental chrétien qui se voit obligé de composer. L’influence et la peur de l’islam se fait sentir. On pourrait ce tableau avec des prêtres du taoïsme chinois, du confucianisme vietnamien qui a eu à accompagner des combattants Viêt-Cong pendant la guerre du Vietnam et la double défaite française en Indochine et américaine à Saigon. De cette lecture, Mbog Bassong tire la moralité suivante : « plus profondes sont les racines spirituelles, religieuses et culturelles ancestrales, plus haute est la cime qui mène aux connaissances « molles » et « dures », mais aussi aux formes de résistance et de lutte face à l’oppression des peuples et à celles de leurs dirigeants légitimes » (Bassong, 2012 : 18). Alors, qui dit mieux ?

À quoi servent des prières, accompagnées des privations et des sacrifices quand ces dernières se montrent efficaces et arrivent à peine à leur destination ? Ce qui signifierait quelque part que notre monde spirituel serait bouché ? Que le courant spirituel ne passe, comme ces prières ne savent percées des murs spirituels qui les retiennent en otage pour motif que nous nous sommes aliénés et que nous avons aliénés les nôtres. De manière générale, le spirituel devrait répondre aux questions physiques et métaphysiques posées par l’existence des hommes, voire des peuples, de ceux qui s’y soumettent. Mais dans le cas opposé, à quoi servirait-il quand aucun espoir n’est possible à l’horizon. Je suis d’avis avec l’évêque Dietrich Von Nehmen qui déclarait que « lorsque son existence est menacée, [celle des nations], l’église est dispensée des commandements de la morale. L’unité comme but sanctifie tous les moyens, l’astuce, la traîtrise, la violence, la simonie, l’emprisonnement, et la mort. Car tout ordre existe pour les fins de la communauté, et l’individu doit être sacrifié au bien général » (Dietrich Von Niehmen, évêque de Verden, De Schismati Libri 3, 1411). Il n’en est pas le cas avec le christianisme tel que vécu et imposé à l’homme d’Afrique et au congolais.

Le jour où le peuple du Congo saura consacrer son temps à répondre à la question de sa spiritualité commencera le début du processus de son émancipation et de sa renaissance comme peuple.

Likambo ya mabele Likambo ya makila

[Mufoncol Tshiyoyo]

Published By www.KongoTimes.info – © KongoTimes! – All Rights Reserved.

Etats-Unis: 42’000 pasteurs signent une pétition de désobéissance civile en cas de redéfinition du …

D’ici fin juin, la Cour suprême des Etats-Unis doit déterminer si la Constitution oblige tous les Etats américains à inclure les couples de même sexe dans la définition du mariage. Face à cette probabilité, 42’000 pasteurs et leaders chrétiens ont signé un texte de désobéissance civile, «le Serment de solidarité pour défendre le mariage».

Selon le communiqué de presse, les signataires résisteront à tous les efforts du gouvernement pour les obliger à accepter le mariage gay. Ils sont prêts à accepter une peine ou amende, même la prison, pour défendre leur liberté religieuse et celle des autres.

Parmi les signataires, on retrouve Mike Huckabee, candidat républicain à la présidentielle américaine, James Dobson, fondateur de Focus on the Family et Family Talk Radio, Richard Land, rédacteur en chef de Christian Post etc.

Pour le révérend Scaborough, président de Vision America Action, la redéfinition du mariage serait une décision aussi tragique et incorrecte que celle de Dred Scott (1857) confirmant l’esclavage. Les chrétiens seraient mis en opposition avec la culture et les tribunaux.

«Notre plus grand respect pour la primauté du droit exige que nous ne respections pas une loi injuste qui entre directement en conflit avec le droit supérieur (…). Comme gens de foi, nous nous engageons à obéir à notre Créateur lorsque l’Etat entre directement en conflit avec le droit supérieur. Nous mettons respectueusement en garde la Cour suprême de ne pas franchir cette ligne» précise le Serment de solidarité pour défendre le mariage.

La rédaction d’Evangeliques.info – 11 juin 2015 12:11

Le pasteur Haneremarama élu président du 2e arrondissement


Voici les nouveaux membres du comité directeur du deuxième arrondissement.

Voici les nouveaux membres du comité directeur du deuxième arrondissement.
Le renouvellement du bureau directeur du deuxième arrondissement de l’Église protestante ma’ohi (EPM) a eu lieu, samedi dernier, à Papara, dans la salle Tehereamanu. Le deuxième arrondissement regroupe les paroisses allant de Faa’a à Teahupo’o. Le pasteur Haneremarama, qui officie actuellement dans la paroisse Tiaiti de Paea, a été élu nouveau président. Il succède au pasteur Tapati qui vient de boucler deux mandats de quatre ans à la tête de cette organisation. 
L’élection du pasteur Haneremarama n’a pas été une mince affaire, puisqu’il aura fallu 13 tours pour qu’il obtienne la majorité des voix. Vingt-huit électeurs, dont des pasteurs, des diacres, mais aussi des porte-parole des paroisses respectives ont participé à ce vote. Le règlement de l’élection prévoit que le candidat doit obtenir deux tiers des voix pour être élu, c’est-à-dire 19 sur 28. Le scrutin a pris énormément de retard, car beaucoup ont maintenu leur vote du début jusqu’à la fin. Il aura fallu que le rival du pasteur Haneremarama, le pasteur Tai’tapu de Punaauia, retire sa candidature pour que l’élection parvienne à sa fin. 
Avant le scrutin, il est de tradition que les pasteurs, les diacres et les porte-parole de l’arrondissement se mettent d’accord sur les candidats en lice. Mais le vote reste secret. Et manifestement, beaucoup n’ont pas suivi les recommandations en interne. 

22 ans en tant que pasteur

Après son élection, le nouveau président du deuxième arrondissement, le pasteur Haneremarama, s’est dit prêt à occuper son poste, estimant qu’il a pris un an pour se préparer et surtout convaincre les potentiels électeurs. Il indique que son rôle consistera à veiller au bon fonctionnement des dix paroisses dont il aura la charge et a prévu de mettre l’accent sur la jeunesse pour lui permettre de s’intéresser davantage à la foi. Pour les plus jeunes, il précise que des actions seront menées au niveau de l’École du dimanche. 
Haneremarama a Tetuaiteroi est pasteur de l’Église protestante ma’ohi depuis 22 ans. Il a officié six ans à Huahine, six ans à Taha’a, un an à Raivavae, six ans à Toahotu et ça fait trois ans qu’il est à la paroisse Tiaiti de Paea. L’ensemble des électeurs l’a félicité après son élection. 
À l’issue de celle-ci, une cérémonie a été organisée pour le départ de trois pasteurs de ce deuxième arrondissement. Il s’agit de Pascal Flores de la paroisse de Papara, le pasteur Tuteanaiva de Mataiea et le pasteur Tuvahine de la paroisse de Teahupo’o. 
Tous les trois viennent d’accomplir six ans dans leur paroisse respective. Ils seront prochainement affectés dans une nouvelle paroisse qui sera connue lors du prochain synode. 
Une cérémonie a également eu lieu pour accueillir les nouveaux diacres qui vont officier dans les différentes paroisses du second arrondissement. Le renouvellement du comité directeur des huit arrondissements de l’EPM est programmé tous les quatre ans. Après le second arrondissement, samedi dernier, ce sera au tour des autres arrondissements dès samedi prochain. Ces renouvellements devront être terminés avant l’ouverture du prochain synode, prévu le 26 juillet à Taha’a. 
C’est dans ce nouveau site que l’EPM va prochainement transférer l’école pastorale d’Hermon de la mission et prévoit, d’ici deux ans, l’inauguration d’une université dédiée aux métiers de l’agriculture, de la pêche, la pisciculture, etc. 

C.T.

Lire l’intégralité de notre dossier dans notre édition du jour ou au feuilletage numérique.

Vingt quatre nouveaux pasteurs reçoivent leurs diplômes

Vingt-quatre jeunes pasteurs dont une femme de la promotion 2010-2015 de l’Institut Biblique et Théologique (IBT) de Sagbièbou, en fin de formation pastorale, ont reçu le 30 mai leurs diplômes au cours d’une cérémonie dénommée «Les réanimateurs de la flamme de pentecôte ».

Dans leur prière de consécration, le président national de l’Eglise des Assemblées de Dieu du Togo, le rév. Pasteur Djakouti Mitré et les autres pasteurs ont imposé les mains aux jeunes pasteurs puis demandé à Dieu d’accorder à ceux-ci les forces nécessaires pour qu’ils soient des modèles dans leur mission d’évangélisation.
PASTEURS
Le vice-président national de l’Eglise des Assemblées de Dieu du Togo, le rév. pasteur Anani Kodjovi Gaston disant sa prédication de circonstance, a recommandé aux jeunes pasteurs, les trois qualités des réanimateurs de la flamme de pentecôte afin de maintenir en eux, le saint Esprit. Il a insisté sur l’obéissance absolue à Dieu, la persévérance dans le sacerdoce l’humilité devant Dieu et au sein de la société.

Les jeunes pasteurs ont suivi une formation théorique de 3ans et pratique de 2 ans dans le domaine pastoral.
Le Temps/Atop

113 Vues totales 113 Vues ce jour

Nîmes : face à la maladie, l’accueil

E n dix années, la Maison des parents a hébergé dix mille familles de personnes hospitalisées.

Pudique, les traits tirés, Adrienne grignote son petit-déjeuner, le regard perdu dans la pinède. Dans quelques minutes, elle rejoindra son époux, admis dans un état critique au CHU Carémeau. Loin des Cévennes où le couple avait choisi de passer sa retraite. “L’hôtel, c’est toujours impersonnel… À la Maison des parents, l’ambiance est calme, chaleureuse. Même si on n’a pas toujours envie d’en profiter, vues les circonstances…”

Il y a dix ans, au moment de l’ouverture de cette structure unique à Nîmes, seule à accueillir les familles de personnes hospitalisées, la Cévenole était tombée sur un prospectus dans le hall d’accueil de l’hôpital. Papier précieusement conservé : pour la troisième fois, elle n’a pas hésité à y loger. En habituée des lieux : “Je n’ai plus de médicaments. Mais, je sais que Martine m’amènera à la pharmacie.”

Après des débuts compliqués, la pérennité semble acquise

La Maison des parents, 260, chemin du Saut-du-Lièvre, est constituée de neuf chambres (TV, kitchenette), une cuisine, une salle à manger. Le prix de la nuit s’élève à 32,50 € pour les personnes ayant une mutuelle, les autres s’acquittant de leur facture au prorata de leurs ressources.

Aujourd’hui, la Maison des parents affiche complet presque en permanence. Les débuts furent cependant difficiles : “Peut-être la proximité de l’Assemblée chrétienne”, reconnaît Jean-Louis Poujol, qui a songé à créer un tel lieu lors de l’hospitalisation de son fils de 5 ans, atteint d’une tumeur au cerveau. Aux côtés du centre Martin-Luther-King, dont il était le pasteur, le Nîmois a emprunté 350 000 €, avec des remboursements mensuels de 3 500 € durant quatorze ans, pour construire le bâtiment.

Le pasteur Poujol n’a jamais cessé de rechercher des fonds : dons privés, subventions de 70 000 € de la Région et du Département… Désormais, la pérennité de la structure semble acquise.

“Nous ne voyons que des personnes qui luttent contre la mort”

Martine Durand est la dame de cœur de cette maison de charme aux neuf chambres coquettes. Un sourire affectueux, une présence indéfectible, un bol de légumes mijotés pour un estomac délicat… Les mille et un remerciements, apposés sur le livre d’or, témoignent de l’importance de l’accueil : “Ce sont des moments tellement pénibles que tout cela soulage un peu notre souffrance”, souligne Brigitte. “Quand les proches rentrent le soir, ils ne demandent pas la clé : ils parlent des résultats d’une analyse, ils s’inquiètent parce que leur mari pisse le sang”, raconte le pasteur Jean-Louis Poujol, fondateur de la Maison des Parents, inaugurée le 5 juin 2005 sur le terrain du centre Martin-Luther-King. Il ajoute : Nous ne voyons que des personnes qui luttent contre la mort : à 90 % ce sont des cas graves. Trois chambres sont réservées en priorité aux parents de bébés prématurés, souligne Solange, épouse de l’homme d’église et bénévole. On les écoute, on les rassure, on leur apporte de la sécurité, on leur amène de l’espérance…”

10 000 familles

Pour une nuit ou dix-huit mois, 10 000 familles, souvent épaulées par Marc, le chauffeur de la navette, se sont succédé chemin du Saut-du-Lièvre. Partageant autour des repas leurs angoisses. Égayant de plantes, comme Yolande, en traitement depuis de longues semaines, les terrasses devant les chambres. Se prêtant leurs voitures. “Moralement, c’est bien, soupire Georges, le regard embué. Je suis là depuis quinze jours, et je peux ainsi rendre visite tous les jours à ma femme, qui a eu un AVC.” La rééducation achevée, le couple regagnera, ensemble, son domicile bagnolais.

 “Les miracles, c’est l’exception…”

Heureux dénouement que n’ont pas vécu les parents de Catherine, jeune femme de 23 ans, atteinte d’une leucémie : “Leur fille unique… Elle était en soins palliatifs et tous les jours, son état se dégradait. Jusqu’au coup de fil un après-midi : Catherine était partie, se souvient Jean-Louis Poujol. Leur vie s’effondrait.” Le pasteur, qui veille à ne pas mélanger les rôles, délaissant son costume d’homme d’église dès qu’il franchit le seuil de la Maison des parents, le sait bien : “Les miracles, c’est l’exception…” Et pourtant, parfois, ils bousculent le destin : les parents de Louis, grand prématuré, peuvent en témoigner. Leur bébé fragile est aujourd’hui un joyeux garçonnet.

Jean-Louis Poujol : “Je vais passer la main”

Après avoir confié le centre Martin-Luther-King à quatre pasteurs, gérez-vous toujours la Maison des parents ?

Je serai toujours présent, je ne l’abandonne pas, mais un couple, parents d’un enfant handicapé, malheureusement décédé, va prendre mon relais sur le plan administratif. Une équipe de cinq bénévoles les épaulera. Je passe la main… Une promesse de don, venant d’une association, permettra de clore les crédits bancaires et donc de pérenniser la Maison des parents. On a gagné, et c’est beau.

Une belle aventure ?

Au début, la mayonnaise n’a pas pris. Il a fallu créer un climat de confiance. Je n’ai jamais oublié ce que m’avait dit l’une des premières personnes hébergées, propriétaire d’un petit hôtel en Auvergne : neuf chambres permettent de tourner. Elle avait raison, et cette affirmation m’a poursuivi, comme un encouragement, tout au long de ces années. 

Brésil – Des groupes évangélistes participent à la gay pride de Sao Paulo. Les USA et la Grande …

sao-paulo-gay-pride

Brésil – Plusieurs groupes de protestants évangélistes ont participé ce dimanche à la 19ème Gay Pride de Sao Paulo et ont présenté des excuses à la communauté LGBT pour la façon dont les églises néo-pentecôtistes les traitent !

Ces derniers jours, plusieurs pasteurs avaient  prononcé des condamnations très sévères de l’homosexualité. Mais, ce dimanche, d’autres pasteurs acquis au lobby LGBT ont participé à la gay pride de Sao Paulo. Les médias, tous favorables au nouvel ordre sexuel mondial, se sont notamment régalés des propos du pasteur Jose Rounique de la Communauté évangélique Familia Apostolica do Senhor très ouverte à l’homosexualité.

Les propos des pasteurs pro-LGBT sont particulièrement répercutés par les médias afin de contrer les appels des pasteurs évangéliques ultra-conservateurs, comme Silas Malafaia, à boycotter la marque de cosmétiques Boticário qui a lancé une publicité télévisée présentant des couples homosexuels s’embrassant.  

Les références à la controverse Boticário ont été présentes  durant la gay pride, qui a été l’une des plus politiques de ces dernières années.
En plus de la critique du conservatisme de l’Eglise catholique, on a entendu des cris contre le président du Congrès, Eduardo Cunha (Parti du mouvement démocratique brésilien), célèbre pour son conservatisme et son opposition à l’idéologie LGBT. Les revendications se sont étendues contre la présidente Dilma Rousseff, qui avait promis, dans sa campagne électorale, une loi contre l’homophobie, loi qui ne vient pas en grande partie en raison des obstacles que mettent Eduardo Cunha, le PMDB et la forte présence de députés évangélistes au Congrès….

L’argent que génère un tel défilé – la gay-pride de Sao Paulo est considérée comme la plus importante des manifestations LGBT au monde – attire les subventions d’entreprises et d’institutions qui parrainent chaque année des chars d’animations. Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne avaient chacun leur char officiel ! Celui de la Grande-Bretagne était animé par des homosexuels grimés en gardes du Palais de Buckingham, mulâtres, se pavanant à demi nus …

Affiche 20 juin 2015

Affiche 20 juin 2015

Réservez votre place dans le bus

Lutter contre le sida, une église à la fois

Le pasteur Roosevelt Baptistin, 31 ans, a déjà suivi plusieurs séminaires. En atelier avec d'autres chefs religieux, ils discutent du VIH.Le pasteur Roosevelt Baptistin, 31 ans, a déjà suivi plusieurs séminaires. En atelier avec d’autres chefs religieux, ils discutent du VIH.  Photo :  Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

« Les gens qui ont le VIH-sida, c’est une malédiction! » Lorsque Safi (nom fictif) a entendu ces propos dans la bouche d’un pasteur il y a huit ans, alors que jusque là, « il prêchait très bien », son sang n’a fait qu’un tour. « Comment un pasteur peut juger comme cela, avoir de tels préjugés? Si je dois lui confier ma situation, il va me rejeter, c’est sûr », s’est-elle dit, choquée.

Un texte de Marie-Laure JosselinTwitterCourriel

Safi est séropositive et croyante. Pour elle, les deux ne sont pas incompatibles. Elle s’est tournée vers GAP-VIES, un organisme montréalais de lutte contre le VIH, qui oeuvre depuis 20 ans auprès des communautés haïtiennes et africaines.

« On nous rapporte, des hôpitaux, que des gens commencent à prendre leurs médicaments puis leur pasteur leur dit d’arrêter, car ils vont être guéris par la prière. Plusieurs bénéficiaires nous disent que le discours qui sort de la bouche des pasteurs est réprobateur, un discours qui juge et pointe le VIH comme une punition divine », explique Joseph Jean-Gilles, directeur de GAP-VIES.

Devant ce constat, il a décidé, il y a six ans, de monter des séminaires pour sensibiliser les chefs religieux et pasteurs de ces communautés à la réalité.

« Les pasteurs ont toujours été notre préoccupation, poursuit Joseph Jean-Gilles. On a eu du mal à trouver la bonne formule, mais on a réussi à les convaincre. Ce sont des leaders d’opinion qui drainent beaucoup de fidèles. Ces communautés sont très croyantes. »

En 2012, les Québécois originaires d’un pays où le VIH est fortement endémique, essentiellement Haïti et les pays d’Afrique subsaharienne, représentaient 16 % des nouveaux diagnostics d’infection au Québec, alors qu’ils ne constituent à peine que 3 % de la population.

Apprentissage 101

Dans un local de l’organisme, une vingtaine de chefs religieux et de pasteurs se sont réunis. Ils sont attentifs. Certains griffonnent des notes, d’autres posent des questions. Devant eux, Roseline Jultéus, coordonnatrice du programme pour une réponse interreligieuse au VIH, donne un cours 101, aidée par de petits dessins. Roseline a déjà visité une centaine d’églises sur les 200 recensées par l’organisme.

« Tous les leaders religieux ne sont pas au même niveau. On prend le temps, on fait le plaidoyer du projet, on va chercher des points qui nous unissent et on s’adapte pour mieux intervenir. C’est une stratégie gagnante », fait-elle valoir.

« Les personnes infectées sont aussi dans les églises. Or, si elles sont stigmatisées ou discriminées, c’est un obstacle à la prévention du VIH-sida. » — Roseline Jultéus, coordonnatrice du programme pour une réponse interreligieuse au VIH

S’ensuivent un cours sur la sexualité et des ateliers, pendant lesquels les questions et les témoignages sont permis. À l’une des tables, deux pasteurs ont une discussion animée. « Si on dit aux fidèles qu’on va parler sexualité, ils ne vont pas venir, il faut trouver un plan », lance l’un d’eux. « Si le pasteur est lié par le tabou, il faut qu’il s’en délie et parle à sa communauté, qui dira : si le pasteur a parlé, ce n’est donc pas un tabou, c’est la culture qui nous l’avait imposé », réplique un autre.

Une vingtaine de chefs religieux et de pasteurs des communautés haïtiennes et d'Afrique subsaharienne participent à un séminaire de sensibilisation sur le VIH offert par l'organisme GAP-VIES.Une vingtaine de chefs religieux et de pasteurs des communautés haïtiennes et d’Afrique subsaharienne participent à un séminaire de sensibilisation sur le VIH offert par l’organisme GAP-VIES.  Photo :  Radio-Canada/Marie-Laure Josselin

« Une maladie comme une autre »

Au fond de la salle, Joseph Jean-Gilles observe. Il sait que les progrès sont là. « Avant, on n’aurait jamais pu évoquer certains sujets comme l’homosexualité, sinon il y aurait eu des cris. On a travaillé, c’est un atterrissage réussi, mais fragile ». Fragile, car sur 200 invitations envoyées, seuls 20 pasteurs ont répondu, même si 80 d’entre eux adhèrent à la cause.

Parmi ceux qui ont répondu à l’appel se trouve le pasteur de l’église Reflet de Christ, Robert Shutsha. Au micro, il s’insurge. « Depuis six ans, ce projet donne de l’information gratuite pour que les églises guérissent de cet état de maladie. Où sont les autres? » questionne-t-il.

« Avant, nous pensions que le sida était un péché. Aujourd’hui, j’ai la connaissance grâce à GAP-VIES et je me suis aussi référé à la Bible. Je me suis rendu compte que c’était une maladie comme une autre. Je vais donc parler à mes confrères pour les persuader bibliquement que ce n’est pas bon de rejeter quelqu’un qui a le sida », plaide-t-il.

« Nous sommes les bergers, nous devons guider et aider! » — Robert Shutsha

Safi reconnaît que le discours évolue. Pourtant, le sujet est encore délicat. Un vieux pasteur haïtien, patriarche de ce séminaire, accepte de parler, mais ne veut pas donner son nom. « Autrefois, c’était vraiment difficile d’en parler dans les églises, mais on l’évoque, car il y a des gens qui souffrent. Certains veulent garder le secret », note-t-il.

Safi, elle, a parlé à son pasteur. Pour le sensibiliser, lui, plutôt que pour y trouver un exutoire.

Cameroun – Religion – Nord-Ouest: Des enfants de Dieu boudent un serviteur de Dieu dans le …

Depuis ce 02 juin 2015 à l’entrée de la Pcc de Bali,   les chrétiens ont placardé deux affiches sur lesquels on peut lire des messages du genre « Pas de Pasteur Kingsley Bobga Ditatang ». Charles Tati, un ancien d’église à la Pcc de Ntanfou à Bali explique : « Dimanche on a appris que le pasteur ici, qui est aussi le secrétaire de cette paroisse, a été affecté. Hors il a fait six mois ou sept mois ici, et il a entamé un travail que tout le monde apprécié ». Au micro de Crtv Nord-Ouest, une fidèle déclare que « le problème est que notre pasteur doit rester, nous ne voulons rien de plus ».

Au centre de la querelle, les derniers déploiements de pasteurs au sein de la Presbyterian Church of Cameroon (Pcc) dans le Nord-Ouest, précisément à Bali, ne sont pas du goût des fidèles qui ont clairement signifiés au représentant du modérateur de cette église qu’ils ne veulent pas du nouveau pasteur affecté dans leur paroisse. En effet, une décision du comité de la PCC signé le samedi 30 juin 2015 porte affectation des pasteurs dans toute l’église.

En vain, le révérend Ignasus Djoum, le représentant du modérateur de la Pcc dans le Nord-ouest a précisé à l’endroit des chrétiens grévistes que ces affectations ont touché 11 des 13 presbytères que compte la région de l’Ouest, et pas seulement celui, tout nouveau, de Ntafou par Bali. L’homme de Dieu a invité les uns et les autres à respecter la décision qui a été faite avec bonne foi et sans volonté de nuire à qui que ce soit.

Patrick Dongo

Haïti-Religion : Deux pasteurs en conflit, la FPH s’engage à y trouver un dénouement

Le conflit qui oppose les deux pasteurs de l’église Théophile en Christ d’Haïti sise à  Martissant 7 , Wilvert Jean Charles et Solva Jean Charles, a atteint son apogée. Décernement de mandats suivi d’arrestation, la Fédération protestante d’Haïti (FPH) veut jouer son rôle d’arbitre afin d’y trouver un bon dénouement en déportant aussi les autorités judiciaires de ce dossier.

Il est inconcevable que les autorités judiciaires émettent des mandats contre des pasteurs sous prétexte de n’importe quelles dénonciations, a fait savoir le président de la FPH, Sylvain Exantus.

Il existe une façon permettant de  traiter un différend lorsqu’il s’agit des religieux. C’est pourquoi on s’est présenté devant le cabinet du juge d’instruction, Me Brédy Fabien et s’est entretenu avec lui. Aussi s’est-il mis d’accord.

De son côté, Me Osner H. Févry, avocat de Wilvert Jean Charles, a informé que Solva Jean Charles, frère cadet de son client, se laisse manipuler par des ennemis de son frère. Cela, dit-il, a conduit à un conflit où le plus jeune veut s’approprier du temple qu’a construit l’aîné.

En outre, l’avocat se dit préoccupé de ce que souvent les autorités ont décerné des mandats à l’encontre des pasteurs, des « ministres religieux »  sans aucun avertissement. Indiquant que même lorsqu’on offrirait à un juge un million de dollars américains destiné à l’arrestation d’un prêtre, il aurait décliné.

Saluant cet accord, Me Févry affirme qu’il n’existe plus de mandats ni contre l’un ni contre l’autre des deux frères.  Arguant « Un bon dénouement » a été trouvé. La solution, s’est-il targué que ne pouvait et ne pourra apporter le commissaire du gouvernement dans le cadre de cette affaire sera rendu possible à l’aide de la médiation de la FPH.

 

RA/HPN

 

Convention nationale de l’Église de Dieu en France 2015

La Convention nationale de l’Église de Dieu en France, sur le thème « Le revêtement de puissance », a eu lieu du 23 au 24 mai 2015 à Beauvais, dans l’Oise. Cette convention avait comme orateurs : le Dr. Martin Mutyebele, surveillant national de l’Église de Dieu en Belgique (Nouvelle Jérusalem), le Dr. Victor Pagan, ancien directeur adjoint de la Church of God World Missions, et le pasteur Christian Merlo, surveillant national de l’Église de Dieu en FraDr. Victor Pagan de la Church of God World Mission - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina - Journal Chrétiennce.

Comme en 2013 et 2014, le thème de la Convention nationale de l’Église de Dieu en France 2015 était « Le revêtement de puissance », basé sur ces paroles du Christ : « Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre. » (Actes 1:8)

Aurélie Legros - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina pour Le Journal Chrétien

Louange « Cœur d’adorateur »

La Convention nationale 2015 de l’Église de Dieu en France a débuté par une après-midi de louange « Cœur d’adorateur », avec la participation des chorales des églises de Pontoise, de Munster et de Troyes. Il convient de saluer le travail remarquable abattu par le couple Victor et Aurélie Legros auprès de ces différents groupes de Louange.

Invitée par le pasteur Christian Merlo, surveillant nationale de l’Église de Dieu en France, la chanteuse d’origine ivoirienne Sarah Koula, a interprété deux chansons de son premier album intitulé « La Solution ».Jacqueline Merlo © Pasteur Aloys Evina Eglise de Dieu en France

Intervention de la sœur Jacqueline Merlo

La sœur Jacqueline Merlo, responsable des femmes de l’Église de Dieu en France, est l’épouse du pasteur Christian Merlo. Elle a été invitée à l’estrade quelques minutes avant l’intervention du surveillant national de l’Église de Dieu en Belgique. Elle a appelé les femmes chrétiennes à se lever pour servir Dieu. Elle a exhorté les femmes des pasteurs à soutenir leurs maris dans l’exercice de leur ministère. Son message a été bien accueilli par le public et par Kathy Watson-Swift, fondatrice de « Freedom House Ministries » et épouse du surintendant Christian Swift.

Pasteur Martin Mutyebele - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina - Journal Chrétien

Message du Dr. Martin Mutyebele

Samedi soir, le Dr. Martin Mutyebele Lukanda, surveillant national de l’Église de Dieu en Belgique, a donné un puissant message sur la « revêtement de puissance », en mettant l’accent sur l’importance de marcher et demeurer avec le ciel ouvert sur nous afin de voir le Saint-Esprit descendre pour agir. C’est ce qui  est arrivé  lors du baptême du Seigneur. Il s’est appuyé sur Mathieu 3 16-17 : « Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l’eau. Et voici, les cieux s’ouvrirent, et il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection. »

« Quand le ciel est ouvert, le Saint-Esprit descend », a-t-il déclaré, précisant que le ministère de Jésus a commencé par cette étape et que le monde entier a été bouleversé par la vie de ce Nazaréen qui avait le ciel ouvert sur lui.

Martin Mutyebele, Rosiane Ngoi, Jacqueline Merlo, Sarah Koula - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina - Journal Chrétien

Ancien ingénieur civil métallurgiste de la Société générale des carrières et des mines (Gécamines), le pasteur Martin Mutyebele a réussi à bâtir la plus grande église protestante de Belgique. La Nouvelle Jérusalem de Bruxelles dont il est pasteur titulaire, compte plus de 3 000 membres. La Nouvelle Jérusalem compte plus de 40 églises annexes en Europe (Belgique, Russie, France, Allemagne) et aux États-Unis.Martin Mutyebele, Rosiane Ngoi, Jacqueline Merlo, Sarah Koula - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina - Le Journal Chrétien

Message du Dr. Victor Pagan

Dans le culte du dimanche matin, après un temps de louange et d’adoration avec la chorale de l’Église de Dieu à Verrières-le-Buisson, le Dr. Victor Pagan, ancien directeur adjoint de la Mission Mondiale de l’Église de Dieu (Cleveland, Tennessee), a donné un enseignement biblique basé sur Genèse 11 et 12. Il a bénéficié des services de la jeune traductrice-interprète Lauretta Gigant, qui a fait preuve de beaucoup de maturité et de professionnalisme à cette occasion.Dr. Victor Legros et Lauretta Gigant - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina - Journal Chrétien

Le Dr. Victor Pagan montré le contraste entre les chapitres 11 et 12 de la Genèse. Le texte de Genèse 11 montre des gens ambitieux qui veulent se faire un nom sans Dieu. « Ils dirent: Allons, construisons-nous une ville et une tour dont le sommet atteindra jusqu’au ciel, alors notre nom deviendra célèbre » (Genèse 11:4). Leur rêve de devenir célèbre ne s’est jamais réalisé parce qu’il n’était pas conforme au plan de Dieu pour eux.

Contrairement au chapitre 11, où des humains affichent leurs rêves de grandeur, le chapitre 12 décrit un homme de foi, Abraham, à qui l’Éternel promet l’élévation. Dans le douzième chapitre, c’est Dieu qui parle : « …je ferai de toi un homme important et tu deviendras une source de bénédiction pour d’autres… » (Genèse 12:2).Pasteur Christian Swift, Christian Merlo, Francis Kennel, Jean-Michel Kennel, Antonio Lukebadio - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina - Journal Chrétien

Remise des licences

La cérémonie de remise des licences ministérielles aux pasteurs de l’Église de Dieu en France s’est déroulée le dimanche 24 mai 2015 à l’Institut Polytechnique LaSalle Beauvais. Les personnes ayant reçu leurs licences cette année sont : Aloys EVINA, pasteur à La Rochelle, Antonio LUKEBADIO, pasteur à Troyes, Claude DUBUS, pasteur à Courcelles-lès-Lens, Florence MICHEL, membre de l’Église de Dieu à Pontoise, Francis KENNEL, pasteur à Bar-sur-Aube, Gustave KOUMBA, pasteur à Saint-Étienne-du-Rouvray, Jean-Michel KENNEL, pasteur à Châtillon-sur-Seine, Marlène MATHIEU, membre de l’Église de Dieu Philadelphie, Pierre KOMBRZA, pasteur à Châtellerault.Pasteurs Claude Dubus, Gustave Koumba, Aloys Evina et les soeurs Marlène Mathieu et Florarence Michel - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina - Journal Chrétien

Moment solennel et important dans la vie d’un pasteur, la cérémonie de remise de licences signifie reconnaissance dans son ministère et concrétisation du travail fourni tout au long d’une formation théologique mettant en œuvre la triade pédagogique (savoir, savoir-faire et savoir-être). C’est un instant privilégié de partage avec ses collègues, ses paroissiens ainsi qu’avec sa famille et ses proches. Toute la cérémonie a été couverte par deux photographes professionnels et amateurs pour immortaliser les moments forts de cette journée (discours du surintendant Christian Swift, cérémonie de remise par les pasteurs Christian Merlo et Victor Pagan, photos de groupes….).Pasteur Christian Merlo - Convention nationale de l'Eglise de Dieu en France © Pasteur Aloys Evina - Journal Chrétien

Clôture

Le pasteur Christian Merlo, surveillant national de l’Église de Dieu en France, a prononcé le mot de la fin dimanche soir. Son message s’est inscrit dans la continuité de ce qui a été dit par les deux premiers orateurs.