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L’apôtre Nthawa soutient avoir été escroqué, le pasteur Denis …
Vendredi, 21 Juin 2013 10:35
Tribunal militaire de garnison de Kinshasa/Gombe
L’apôtre Jean-Baptiste Nthawa et le pasteur Denis Lessie – deux serviteurs de Dieu – se livrent en ce moment une impitoyable bataille devant la justice des hommes pour une affaire d’association de malfaiteurs et d’escroquerie.
Hier jeudi 20 juin, le tribunal militaire de garnison de Kinshasa/Gombe – siégeant en matière répressive en chambre foraine à la prison militaire Ndolo, a continué l’instruction sur l’affaire qui oppose le ministère public et la partie civile Jean-Baptiste Nthawa aux prévenus Denis Lessie (pasteur), Thierry Okunimo Molindua (étudiant) et Louis Kasongo wa Ngoy (adjudant de la Garde républicaine) pour association de malfaiteurs, escroquerie, et incitation des militaires à commettre des actes contraires à leurs devoirs.
A une question du président du tribunal militaire, le colonel magistrat Patty Sangwa, l’apôtre Jean-Baptiste Nthawa a répondu que le prévenu qui s’appelle aujourd’hui comme adjudant Kasongo s’était présenté à lui, lorsqu’il assumait encore les fonctions de ministre du Budget, comme capitaine Bisimwa de la Garde républicaine. Et durant toute une année, il a continué à le fréquenter sans commettre aucun méfait. Pour cette raison, il n’avait jamais soupçonné qu’il faisait partie d’un réseau bien organisé. C’est ainsi qu’il lui avait donné d’abord les 10.000 dollars qu’il cherchait pour aller se faire soigner en Inde.
Le plaignant Nthawa a ajouté que c’est bien après que le même prétendu capitaine Bisimwa est venu lui présenter le soi-disant petit frère du Chef de l’Etat, qui n’est autre que l’étudiant de l’UNIKIN Thierry Okunimo Molindua.
Quelques jours plus tard, ces deux prévenus sont venus le voir pour lui déclarer qu’il a un problème avec l’honorable Jaynet Kabila, sœur jumelle du Chef de l’Etat. Un litige qu’il fallait donc résoudre. Ils lui avaient alors suggéré d’offrir un véhicule à son frère jumeau, qui n’est autre que le président de la République. Par la suite, ils l’ont conseillé d’offrir aussi un cadeau à la maman du président qui vit actuellement au Katanga. Ils ont même précisé que comme elle s’adonne maintenant à l’agriculture, c’est une camionnette avec du matériel agricole qui lui conviendraient le mieux pour les travaux champêtres.
Ne se doutant de rien, a-t-il poursuivi, il a d’abord remis 10.000 dollars à Kasongo, ensuite 37.000 dollars à Okinimo Mulindua, et puis 17.500 dollars au pasteur Denis Lessie. Il a encore donné 2.500 dollars de complément au pasteur. C’est pour ce dossier qu’il avait dû céder sa jeep Hyundai à Denis Lessie, afin que ce dernier puisse la vendre. Le produit de la vente devait être ajouté à un autre montant pour l’achat du véhicule destiné au président de la République.
Quelques jours après, ils sont venus lui présenter la jeep achetée pour le Chef de l’Etat. Comme il voulait en avoir le cœur net, le prévenu Kasongo lui a apporté la photo où la jeep en question se trouvait dans le charroi automobile présidentiel. C’est en retard qu’il a compris qu’il a été roulé, et que cette jeep n’a jamais été achetée. C’est le même scénario pour la camionnette prétendue avoir été achetée pour la maman du président.
Appelé à réagir, le pasteur Denis Lessie a tout rejeté en bloc. Néanmoins, il a reconnu que l’apôtre Jean-Baptiste Nthawa lui a fait cadeau de la jeep Hyundai, du fait qu’il était en difficulté lorsqu’il est rentré des soins en Afrique du Sud, et qu’il n’avait pas un moyen de transport. Quant à l’argent, il a accepté seulement que le pasteur Nthawa lui a donné 2.100 dollars pour les problèmes d’église. Quant à l’histoire de Mme Jaynet Kabila, le pasteur Nthawa l’a inventée.
Il a même déclaré qu’il n’a jamais prétendu être le conseiller spirituel du Chef de l’Etat. De son côté, le pasteur Nthawa a soutenu qu’il a effectué toutes ces dépenses pour avoir la paix, mais non pour un quelconque poste ministériel comme on l’a propagé. Car, a-t-il insisté, les postes se négocient au sein des partis politiques.
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Autres réponses (2)
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Et bien quoi, ce n’est pas nouveau ? Les Protestants, tu ne connais pas ?
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Des mots dans une phrase ?
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Nord Mali : Le désarroi des pasteurs – Dépêches du Mali
- Détails
- Publié le 20 juin
Pendant qu’un accord est signé à Ouaga pour que la paix, la sécurité et la quiétude reviennent dans les régions du Nord du Mali, la réalité est tout autre sur le terrain. Les groupes rebelles continuent de semer la terreur parmi les populations, emportant leurs biens les plus précieux.
La volonté affichée des groupes rebelles de contribuer à l’avènement de la paix et de la stabilité dans les régions du Nord du Mali ne semble que de façade. Au regard de la réalité du terrain, où les populations sont victimes au quotidien d’attaques et d’enlèvements de bétail, les tentatives de paix semblent bien illusoires.
Un compromis de façade ?
La dynamique des négociations qui s’est soldée par la signature d’un accord devrait baisser d’un cran les agressions et les vols au Nord. Hélas ! Ce fléau poursuit son petit bonhomme de chemin avec des groupes d’individus qui s’en prennent aux biens des paisibles citoyens, menaçant ces derniers de mort.
Les razzias qui sévissaient au Nord du Mali, exacerbées par la crise sécuritaire dans cette zone, se sont déplacées dans la bande de Leré, Niafunké, jusqu’à Goundam. Le dernier épisode de ce genre remonte au dimanche 16 juin 2013, à Tondidou dans le cercle de Niafunké. Ce jour-là, un jeune pasteur répondant au nom de Hama Kola a été très mal inspiré en s’éloignant à 3 km de son hameau. Il est tombé dans le filet d’hommes armés qui l’ont obligé à détourner la trajectoire des trois cents bœufs qu’il faisait paître. Direction : la frontière mauritanienne où les bétails volés sont écoulés et cédés à vil prix à des opérateurs économiques. Le refus d’obtempérer du jeune berger a forcé ses assaillants à le cribler de balles. Il ne reverra plus jamais les animaux dont il avait la garde, à fortiori son hameau.
Si le corps de Hama, découvert au bout d’une semaine de recherches collectives par les villageois, a été retrouvé dans un état de décomposition très avancé, le gigantesque troupeau, lui, est resté introuvable. La confusion la plus totale règne autour des véritables auteurs de ce forfait. Alors que certains parlent de militants du MNLA, d’autres semblent persuadés que c’est une signature de groupes islamistes résiduels.
À la question de savoir si les forces de sécurité maliennes, sinon les autorités administratives, ont été saisies, Ali Farka Diallo, notre interlocuteur, répond : « Ce n’est pas la peine. Nous allons perdre notre temps. » En effet, souligne-t-il, les autorités locales n’ont jamais rien pu régler dans ce genre de situation, alors qu’elles sont toujours les premières alertées. « Nous ne pouvons pas nous défendre s’ils nous agressent. Les agresseurs sont toujours armés », signale-t-il avant de confier que lui-même a frôlé la mort en 1990 alors qu’il était berger. Son abdomen, qu’il n’a pas hésité à exhiber, comporte une grosse cicatrice qui a tout l’air d’une trace de balle.
Cet exemple illustre les nombreux enlèvements de bétail qui ont cours dans cette zone du Mali où la loi du plus fort prend forcément le dessus. « Comment résister face à des individus armés ou surarmés ? » lance l’éleveur dans un cri du cœur aux autorités maliennes. « Nous réclamons nos bétails volés, sinon des aides nous permettant de survivre. »
En tout cas, ce qui a cours dans les villages et hameaux du Nord n’est pas de nature à faire prospérer la paix. Ces localités sont devenues des no man’s land pour les pasteurs et leurs animaux. Esseulés, abandonnés à eux-mêmes, les petits propriétaires de bétail ne savent plus à quel saint se vouer. C’est avec la peur au ventre qu’ils arrivent à conduire leurs animaux aux pâturages.
Par David Dembélé
Depechesdumali.com
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Les pasteurs du Seigneur – Diocèse du Puy-en-Velay
Onze prêtres étaient venus fêter leur jubilé : le père Laurent Monnier (10 ans) ; les pères Gustave Chaudier, Henri Demars, Gérard Fournier et Alain Joumard (50ans) ; les pères Jean-Baptiste Bruchet, Jean Baylot, Jean-Baptiste Colombet, Jean Ploton et Camille Roux (60ans) et le père François Laurent qui fête cette année ses 70 ans de sacerdoce. Il faut aussi mentionner Mgr Brincard qui fêtera en Septembre ses vingt-cinq ans d’épiscopat.
Fraternité sacerdotale
Pendant l’homélie, l’évêque s’est adressé à ses « frères prêtres » auxquels il a rappelé à de nombreuses reprises sa « grande joie de célébrer événement ». Il en a ainsi profité pour redéfinir le rôle du prêtre, qu’il avait la charge « de faire avancer le peuple de Dieu » et « d’enseigner la parole de dieu au nom du Christ ».
Mgr Brincard a ensuite demandé de prier pour les vocations, notamment diocésaines, et pour les prêtres car « la fidélité qui nous est demandé est un grand combat. […] La spiritualité des prêtres diocésains doit être la Charité pastorale. Ainsi, nous aidons le peuple de Dieu. » Cette Charité pastorale équivaut à la Charité communautaire des prêtres vivant en communauté.
Bons bergers pour la vie
Après avoir à nouveau exprimé sa reconnaissance à Dieu d’avoir toujours été serviteur et ami de ces prêtres, Mgr Brincard proposa à la centaine de personnes présentes, de réfléchir autour de cette question : « Comment faire en sorte que nos aînés puissent toujours continuer à servir Notre Seigneur ? » Au-delà des offices, comment un prêtre à la retraite peut-il exercer son ministère ? Car les « jeunes aussi ont besoin de ce service qui porte des fruits parmi eux », ils ont besoin de l’exemple des prêtres âgés.
Une émouvante célébration
Au moment du geste de paix, l’évêque a pris la peine de donner la paix du Christ à chaque prêtre jubilaire.
Emue, l’assemblée a applaudit chacun des prêtres, ainsi qu’un diacre qui sera « ordonné au mois de juin », comme l’a souligné Mgr Henri Brincard.
Après la messe, tous les prêtres présents se sont retrouvés à l’évêché pour un verre de l’amitié autour de l’évêque.